Aujourd'hui, nous nous battons pour l'égalité des hommes et des femmes. Nous trouvons que, les femmes sont traités comme un sexe très faible. Dans les lieus de travail, on ne donne pas aux femmes des tâches qui sont pareils aux hommes. Par exemple, on croit que les femmes sont moins compétentes pour être mécanicienne ou policier. L'autre raison pour laquelle les femmes sont traités moins au travail, c'est parce que, on dit les femmes prennent des congés maternelle donc elles ne sont pas toujours au travail.
A la maison, normalement c'est la femme qui fait presque tous malgré que l'homme et la femme travaillent. La femme s'occupe des enfants, cuisine ou fait la lessive, parce que les hommes pensent des tâches ménagères sont pour les femmes. Les hommes pensent que ce sont eux qui doivent ramener de l'argent au foyer et réparer les choses qui sont brisés dans la maison.
jeudi 11 juin 2015
mercredi 10 juin 2015
Le système éducatif au Botswana
A six ou sept ans, un enfant est prêt à commencer l'école au primaire. C'est là où il apprend à lire et écrire. Il apprend à prononcer des mots. L'école primaire dure sept ans et à la fin de la septième année, on passe l'examen pour aller au collège. Il y a une dizaine d'années, il fallait réussir des examens pour aller au collège. Les élèves qui n'avaient pas réussi, redoublaient. Mais aujourd'hui, tous les élèves qui ont fini la septième année, sont admis au collège pour continuer leurs études pendant trois ans. Après trois ans au collège, les élèves qui ont des bons résultants continuent au lycée. Après le lycée, les élèves choisissent d'aller à l'université, dans des "colleges of education" (pour devenir enseignants), ou d'autres structures pour les aider à trouver un emploi dans l'avenir.
Avant, l'éducation était gratuite, les parents ne payaient pas pour que leurs enfants aillent à l'école. Aujourd'hui, le gouvernment du Botswana encourage les parents à être responsable, à payer les frais de scolarité pour les enfants. Au primaire, on ne paie pas, mais au collège les parents paient 300 pulas par an (30€). Au lycée, les parents paient 450 pulas par an (45€). Etant donné qu'il y a des parents qui ne sont pas en mesure de payer, le gouvernement les aide en payant pour leurs enfants.
Au Botswana, le port de l'uniforme est obligatoire dans toutes les écoles, même les écoles privées. On croit que l'uniforme est bon car il y a des enfants qui viennent des foyers pauvres, donc l'uniforme met tout le monde à l'aise et les élèves semblent égaux et il est économique pour les parents puisque les élèves doivent porter la même chose tous les jours. Avec l'uniforme, il n'y a pas d'intimidation et les élèves ne taquinent pas les autres.
Au Botswana, il y a des pensionnats. Donc, après l'école primaire ou le collège, les parents choisissent s'ils préfèrent que leurs enfants restent à la maison pour aller dans une école qui est proche ou s'ils les envoient dans des pensionnats. Les pensionnats encouragent les enfants à être responsables et à ne pas dépendre de leurs parents. C'est là qu'un enfant peut apprendre à être indépendant, mais pendant les vacances il peut rentrer chez ses parents. La raison principale pour laquelle quelques enfants doivent aller dans des pensionnats c'est le problème de la distance, surtout dans les petits villages où il n'y a pas de collèges ou de lycées. Grâce à ces écoles, les élèves peuvent éviter de parcourir de longues distances pour faire leurs études.
Avant, l'éducation était gratuite, les parents ne payaient pas pour que leurs enfants aillent à l'école. Aujourd'hui, le gouvernment du Botswana encourage les parents à être responsable, à payer les frais de scolarité pour les enfants. Au primaire, on ne paie pas, mais au collège les parents paient 300 pulas par an (30€). Au lycée, les parents paient 450 pulas par an (45€). Etant donné qu'il y a des parents qui ne sont pas en mesure de payer, le gouvernement les aide en payant pour leurs enfants.
Au Botswana, le port de l'uniforme est obligatoire dans toutes les écoles, même les écoles privées. On croit que l'uniforme est bon car il y a des enfants qui viennent des foyers pauvres, donc l'uniforme met tout le monde à l'aise et les élèves semblent égaux et il est économique pour les parents puisque les élèves doivent porter la même chose tous les jours. Avec l'uniforme, il n'y a pas d'intimidation et les élèves ne taquinent pas les autres.
Au Botswana, il y a des pensionnats. Donc, après l'école primaire ou le collège, les parents choisissent s'ils préfèrent que leurs enfants restent à la maison pour aller dans une école qui est proche ou s'ils les envoient dans des pensionnats. Les pensionnats encouragent les enfants à être responsables et à ne pas dépendre de leurs parents. C'est là qu'un enfant peut apprendre à être indépendant, mais pendant les vacances il peut rentrer chez ses parents. La raison principale pour laquelle quelques enfants doivent aller dans des pensionnats c'est le problème de la distance, surtout dans les petits villages où il n'y a pas de collèges ou de lycées. Grâce à ces écoles, les élèves peuvent éviter de parcourir de longues distances pour faire leurs études.
L'examen de Delf
Ca fait deux semaines que j'ai passé mon examen de Delf, j'attends les résultats. Je l'ai passé en deux jours, le premier jour j'ai fait la compréhension orale, écrite et la production écrite. L'examen était l'après midi. J'avais peur car j'avais un problème avec la compréhension orale. La préparation de cette épreuve en cours m'a aidée mais je pense que la diction des documents sonores était toujours très rapide. La plupart du temps je ne comprenais rien. Les compréhensions écrites étaient aussi difficiles, avec beaucoup des mots inconnus qui rendaient les textes difficilement compréhensibles.
La deuxième jour on a passé la production orale. A neuf heures nous étions à la maison de langues. Mpho était le première, moi j'étais la quatrième. Je suis entrée dans la salle et une dame m'a demandé de tirer deux papiers. Il y en avait environ douze. J'en ai pris deux, un était intitulé : "des jeux pour les garçons/ filles." L'autre parlait des femmes : "est-ce qu'elles sont reconnues dans les sports ?" On avait un demie heure pour se préparer, et après on a été appelé dans une salle pour faire le débat. C'était difficile d'être devant deux personnes qui connaissent et parlent bien le français. Malgré tout, j'ai quand même essayé.
Les deux dames étaient très gentilles et elle souriaient temps en temps et avec ça, j'étais à l'aise. J'ai choisi le sujet qui parlait des jeux des enfants. Je voulais que les garçons jouent avec des poupets et les filles jouent avec des voitures, ça peut aider les deux sexes apprennent des tâches différents. J'ai aussi donné un exemple de mon pays, où aujourd'hui dans un foyer, le mari et la femme travaillent, donc, le mari peut cuisinier, et aussi avec des voitures comme des jeux pour les filles, on encourage les femmes d'être intéresser aux voitures, et peuvent changer un pneu de la voiture un jour, et pas dépendre sur les hommes.
La deuxième jour on a passé la production orale. A neuf heures nous étions à la maison de langues. Mpho était le première, moi j'étais la quatrième. Je suis entrée dans la salle et une dame m'a demandé de tirer deux papiers. Il y en avait environ douze. J'en ai pris deux, un était intitulé : "des jeux pour les garçons/ filles." L'autre parlait des femmes : "est-ce qu'elles sont reconnues dans les sports ?" On avait un demie heure pour se préparer, et après on a été appelé dans une salle pour faire le débat. C'était difficile d'être devant deux personnes qui connaissent et parlent bien le français. Malgré tout, j'ai quand même essayé.
Les deux dames étaient très gentilles et elle souriaient temps en temps et avec ça, j'étais à l'aise. J'ai choisi le sujet qui parlait des jeux des enfants. Je voulais que les garçons jouent avec des poupets et les filles jouent avec des voitures, ça peut aider les deux sexes apprennent des tâches différents. J'ai aussi donné un exemple de mon pays, où aujourd'hui dans un foyer, le mari et la femme travaillent, donc, le mari peut cuisinier, et aussi avec des voitures comme des jeux pour les filles, on encourage les femmes d'être intéresser aux voitures, et peuvent changer un pneu de la voiture un jour, et pas dépendre sur les hommes.
mardi 21 avril 2015
Qui dépense le plus d'argent, les hommes ou les femmes?
Chaque mois, les magasins sont pleins de monde, on fait des achats pour des choses différentes. Mais entre les hommes et les femmes, qui dépense le plus d'argent ? Les femmes achètent des produits alimentaires, des vêtements et des jouets pour les enfants. Pendant les soldes, on voit surtout des femmes dans les magasins et elles achètent beaucoup de choses en même temps.
Quant aux hommes, ils achètent des choses chers. Ils achètent des matériaux bricolage et de jardinage et des articles de sports. Quand ils achètent des vêtements, ils sont attachés aux marques, comme Nike, Lacoste et Puma. Etant donné que les vestimentaires masculin sont très chers, les hommes peuvent dépenser trop par rapport aux femmes. Les hommes n'ont pas besoin de choses comme les femmes comme maquillage, des bijoux et de la coiffure. Les hommes aussi dépensent de l'argent quand ils essaient de conquérir les femmes, surtout les hommes qui n'ont pas mariés. Ils achètent des cadeaux pour les femmes. Certains, ils croisent que comme autrefois, c'est l'homme qui ramène l'argent à la maison, donc il y a des hommes qui préfèrent à faire presque tous les choses à la maison.
Quant aux hommes, ils achètent des choses chers. Ils achètent des matériaux bricolage et de jardinage et des articles de sports. Quand ils achètent des vêtements, ils sont attachés aux marques, comme Nike, Lacoste et Puma. Etant donné que les vestimentaires masculin sont très chers, les hommes peuvent dépenser trop par rapport aux femmes. Les hommes n'ont pas besoin de choses comme les femmes comme maquillage, des bijoux et de la coiffure. Les hommes aussi dépensent de l'argent quand ils essaient de conquérir les femmes, surtout les hommes qui n'ont pas mariés. Ils achètent des cadeaux pour les femmes. Certains, ils croisent que comme autrefois, c'est l'homme qui ramène l'argent à la maison, donc il y a des hommes qui préfèrent à faire presque tous les choses à la maison.
lundi 20 avril 2015
Pourquoi les parents mettent beaucoup d'information sur Internet
Il y a des parents qui mettent de l'information concernant leurs enfants sur Internet, comme Facebook et Twitter. Ils partagent les photos et des informations sur leurs enfants quand ils sont encore jeunes.
Je suis contre les parents qui partagent tout sur Internet. Nous, comme adultes, nous avons choisi d'être sur Facebook ou Twitter, alors qu'il y a des adultes qui n'aiment pas être sur Internet. Autrefois, il n'y avait pas Internet, donc nous avons grandi avec le luxe de ne pas avoir nos vies partout sur Internet : on avait de l'intimité. Nos photos privées se trouvaient dans les albums photos.

Les parents disent que les raisons pour lesquelles ils mettent des photos sur Internet c'est qu'ils veulent partager des photos avec des membres de la famille ou des amis qui habitent loin et ne voient pas les enfants souvent. Certains sont ravis de voir les enfants marcher ou apprendre à manger, donc ils partagent des moments avec les autres sur Internet.
Toutefois, en grandissant, les enfants ne seront peut-être pas contents de retrouver des photos d'eux en ligne.
vendredi 17 avril 2015
L'adoption
L'adoption est un moyen de donner une famille à un enfant qui se trouve dans une situation d'abandon. Beaucoup de gens peuvent adopter, par exemple, un célibataire, un couple marié ou un couple de même sexe. Les raisons pour lesquelles les gens décident d'adopter, c'est qu'il y a des femmes qui n'arrivent pas à avoir des enfants. L'adoption leur permet d'être parent et d'élever un enfant qui n'a pas connu la chance d'avoir des parents.
jeudi 16 avril 2015
Xénophobie en Afrique du sud
Les violences de certains Sud-Africains contre les étrangers ont commencé la semaine dernière. Le roi des Zulu en Afrique du sud a dit qu'il était temps que les étrangers prennent leurs affaires et rentent chez eux. Ensuite, des Sud-Africains ont commencé à chasser des immigrés africains en disant que ce sont les étrangers qui prennent leur travail. Ils disent qu'il y a 40% de chômage dans leur pays, et que c'est en grande partie à cause des étrangers.
On a forcé certains étrangers à fermer leur magasin, d'autres magasins ont été brûlés et pillés. Des étrangers ont été battus et menacés. Beaucoup d'étrangers se sont enfuis de leurs maisons et d'autres ont perdu tout ce qu'ils possédaient à cause de ces violences. Depuis que les violences ont commencé, cinq personnes ont déjà tuées. En ce moment, les étrangers comme des Congolais, des Tanzaniens et des Burundais ont très peur de rester en Afrique du Sud. Malgré ces problèmes, beaucoup d'étrangers ne pensent pas à rentrer chez eux, parce qu'ils ont aussi fui leurs pays à cause de la guerre et de la misère.
Le Président de l'Afrique du sud, Jacob Zuma, a supplié les Sud-Africains d'arrêter la violence. Il a dit qu'il y a beaucoup d'étrangers qui habitent en Afrique du sud légalement et que ce sont eux qui contribuent au développement économique du pays. Et même les autres étrangers qui n'y habitent pas légalement, méritent d'être protégés contre les violences dans le pays. Le gouvernement du Malawi a dit qu'il va rapatrier ses citoyens, et les autres étrangers qui ont les moyens de rentrer chez eux ont déjà commencé à voyager.
Jeudi 16 avril, les Sud-Africains ont décidé de marcher contre la xénophobie en Afrique du Sud. Beaucoup de gens, y compris les dirigeants politiques et des pasteurs, étaient là pour passer le message qu'il faut arrêter la xénophobie.
On a forcé certains étrangers à fermer leur magasin, d'autres magasins ont été brûlés et pillés. Des étrangers ont été battus et menacés. Beaucoup d'étrangers se sont enfuis de leurs maisons et d'autres ont perdu tout ce qu'ils possédaient à cause de ces violences. Depuis que les violences ont commencé, cinq personnes ont déjà tuées. En ce moment, les étrangers comme des Congolais, des Tanzaniens et des Burundais ont très peur de rester en Afrique du Sud. Malgré ces problèmes, beaucoup d'étrangers ne pensent pas à rentrer chez eux, parce qu'ils ont aussi fui leurs pays à cause de la guerre et de la misère.
Le Président de l'Afrique du sud, Jacob Zuma, a supplié les Sud-Africains d'arrêter la violence. Il a dit qu'il y a beaucoup d'étrangers qui habitent en Afrique du sud légalement et que ce sont eux qui contribuent au développement économique du pays. Et même les autres étrangers qui n'y habitent pas légalement, méritent d'être protégés contre les violences dans le pays. Le gouvernement du Malawi a dit qu'il va rapatrier ses citoyens, et les autres étrangers qui ont les moyens de rentrer chez eux ont déjà commencé à voyager.

lundi 13 avril 2015
Est-ce que l'avion un moyen de transport plus sûr?
Les voyages à l'étranger ne prennent pas beaucoup de temps, grâce aux avions. Mais les accidents récents d'avions me donnent peur de voler. Je commence à me demander si les avions sont sûrs. Je commence à penser à des endroits très proches quand j'ai envie de voyager pour éviter les endroits très loins ou à l'étranger.
Malgré les accidents d'avion, on est rassuré par le fait que l'avion reste le moyen de transport le plus sûr. Il y a beaucoup d'avions qui décollent tous les jours mais quand on les compare avec des voitures ou d'autres moyens de transports, beaucoup de gens perdent la vies à cause des accidents de route. La plupart de temps, les conditions météorologiques sont les causes des crashs. Les avions volent par temps de pluie, de vent et même d'orages mais ils arrivent à destination. Il vaut mieux avoir des avions qui sont bien entretenus et des pilotes qui sont bien formés pour réduire les accidents d'avion.
Malgré les accidents d'avion, on est rassuré par le fait que l'avion reste le moyen de transport le plus sûr. Il y a beaucoup d'avions qui décollent tous les jours mais quand on les compare avec des voitures ou d'autres moyens de transports, beaucoup de gens perdent la vies à cause des accidents de route. La plupart de temps, les conditions météorologiques sont les causes des crashs. Les avions volent par temps de pluie, de vent et même d'orages mais ils arrivent à destination. Il vaut mieux avoir des avions qui sont bien entretenus et des pilotes qui sont bien formés pour réduire les accidents d'avion.
lundi 23 mars 2015
Le retour au Botswana du Groupe 1
Les stagiaires du Groupe 1 ont terminé leur séjour ici à La Réunion et ils rentrent au Botswana le dimanche 29 mars. Ils sont arrivés en juillet de l'année dernière et je crois que leur séjour de 9 mois s'est bien passé. Les 7 professeurs de français au Botswana étaient polis et j'ai appris beaucoup de choses avec eux. Quand je suis venue ici, ils m'ont donné des conseils avant mon départ et ils m'ont guidée pendant mes premiers jours sur l'île de la Réunion.
Vendredi dernier, un déjeuner de départ a été organisé pour eux. Les professeurs du CIEP étaient là et je crois qu'ils étaient heureux de voir les 7 professeurs botswanais qui sont maintenant capables de mieux parler le français, grâce à eux. On leur a donné un certificat et les Botswanais ont souri
Vendredi dernier, un déjeuner de départ a été organisé pour eux. Les professeurs du CIEP étaient là et je crois qu'ils étaient heureux de voir les 7 professeurs botswanais qui sont maintenant capables de mieux parler le français, grâce à eux. On leur a donné un certificat et les Botswanais ont souri
dimanche 22 mars 2015
La vie des people

Est-ce qu'on a envie de vivre comme des stars ? Moi, je les envie parce qu'ils gagnent beaucoup d'argent et qu'ils ont de belles maisons et de belles voitures. Malgré le luxe, je pense qu'ils ne sont pas heureux. La raison pour laquelle je n'aimerais pas être une star, c'est que j'aime mon intimité, je ne veux pas vivre sous la surveillance de caméras. Si tu es un star, les gens te demandent de signer des autographes, surtout dans la rue ou quand tu es en train de faire du shopping. On perd sa tranquillité : on est tout le temps dérangés.
Les stars sont jugées sur ce qu'elles font. Les gens font des commentaires sur leur partenaire. Par exemple, Halle Berry s'est mariée avec un homme plus jeune et la nouvelle était partout dans les magazines. Halle Berry a été critiquée et il y a des gens qui ont pensé ce n'était pas bon. Nous, les gens qui ne sommes pas connus, on se marie avec n'importe qui et parfois on divorce après, mais cela reste notre vie. Il n'y a personne qui te pose des questions et te demande des explications.
jeudi 26 février 2015
"Peu importe où vous êtes, vos rêves sont toujours valables."
Lupita Nyongo est une femme qui est née en 1983. Aujourd'hui, elle est très connue et elle s'est déjà imposée comme actrice. C'est rare de trouver une personne qui est noire dans l'industrie du cinéma. En 2014, Lupita était nominée pour les Oscars, elle a obtenu l'Oscar de la meilleure actrice pour son rôle dans le film, "12 years a slave." En 2014, le magazine "People" l'a consacrée comme la femme la plus belle du monde.
Lupita est mon idole. J'aime le fait qu'elle soit une des rares personnes qui ait réussi comme actrice, surtout qu'elle est noire. Beaucoup d'acteurs sont blancs. Lupita vient d'Afrique : elle est y née. Parfois, on n'arrive pas toujours à réaliser ses projets. Moi par exemple, quand j'ai grandi, je voulais être présentatrice et travailler à la télévision, mais j
Lupita est mon idole. J'aime le fait qu'elle soit une des rares personnes qui ait réussi comme actrice, surtout qu'elle est noire. Beaucoup d'acteurs sont blancs. Lupita vient d'Afrique : elle est y née. Parfois, on n'arrive pas toujours à réaliser ses projets. Moi par exemple, quand j'ai grandi, je voulais être présentatrice et travailler à la télévision, mais j
DES CHOSES QUI M'INTERESSENT ET QUI ME CHOQUENT A LA REUNION
Je trouve que la Réunion est un endroit très accueillant. Les gens ici sont polis, ils ne jugent pas et ils ne se mêlent pas des affaires des autres. Dans mon pays au Botswana, c'est le contraire. Les gens observent ce que les autres font. Ils jugent. Par exemple, chez nous quand une femme ou une fille porte une jupe très courte, les hommes sifflent et parlent mal de la femme ou de la fille. Ici, à la Réunion on s'habille comme on veut, des petites jupes et des petits shorts. Je me rappelle une fois au Botswana avoir vu des hommes qui ont enlevé la jupe d'une femme parce qu'ils ont dit que c'était très court et que c'était gênant.
Dans mon pays, il n'y a pas beaucoup de femmes qui fument, donc celles qui fument font ça en privé. Ici à la Réunion beaucoup de gens fument même les jeunes. A la gare, à la plage, aux terrasses des restaurants et dans les voitures quelqu'un a toujours un cigarette à la main. Moi je n'aime pas l'odeur de la cigarette ni la fumée. C'est prouvé que la fumée de cigarette a un effet sur la personne qui l'inhale mais ne fume pas, donc je suis inquiète.
J'ai aussi constaté que pendant le weekend, les restaurants sont toujours pleins. Des parents avec leurs enfants réservent des tables pour manger. J'ai appris qu'il y a des gens qui n'ont pas des gazinières chez eux, donc ils sortent tous les jours pour manger. J'ai un ami ici, il mange toujours au restaurant et dans chaque restaurant il connait le menu par coeur. Moi, j'aime les repas cuisinés à la maison, et je suis d'accord pour aller manger au restaurant de temps en temps, mais pas tous les jours. Donc je me demande si les Français sont paresseux ou quoi. Au Botswana, on sort et on mange au restaurant

J'ai aussi constaté que pendant le weekend, les restaurants sont toujours pleins. Des parents avec leurs enfants réservent des tables pour manger. J'ai appris qu'il y a des gens qui n'ont pas des gazinières chez eux, donc ils sortent tous les jours pour manger. J'ai un ami ici, il mange toujours au restaurant et dans chaque restaurant il connait le menu par coeur. Moi, j'aime les repas cuisinés à la maison, et je suis d'accord pour aller manger au restaurant de temps en temps, mais pas tous les jours. Donc je me demande si les Français sont paresseux ou quoi. Au Botswana, on sort et on mange au restaurant
mercredi 25 février 2015
LA VIE A L'ETRANGER
Le 25 février 2015, ça fait presque 4 mois que je suis à la Réunion. Quand je suis arrivée ici, je j'adorais être à l'étranger. J'étais contente de vivre loin de mon pays pour un moment. Au début, tout était facile, j'ai rencontré beaucoup de gens et je me suis fait des amis qui m'invitaient à dîner de temps en temps. Comme ca, je pouvais m'amuser et m'occuper un peu.
Mais il y a des inconvénients de vivre loin de la famille. Un jour, je me suis réveillée sans pouvoir respirer, je transpirais et j'avais très mal à la tête. Je croyais que j'étais vraiment malade. J'ai quitté le campus pour aller chez un médecin à Saint Pierre qui travaille vingt quatre heures sur vingt quatre. Il était vingt-trois heures, il m'a donné des comprimés contre la douleur. Je suis rentrée au campus à minuit.
Le lendemain matin, c'était douloureux à la poitrine. J'ai appelé mes amis pour m'amener à l'hôpital à Saint Pierre. Là, l'infirmière a pris ma température, c'était normal. Un autre infirmier est venu avec un brancard, il m'a demandé de m'allonger dessus. A cet instant, j'avais peur. J'ai pensé que j'allais mourir. L'infirmier m'a poussé dans une chambre, il m'a dit d'attendre quelqu'un qui viendrait me faire une prise de sang pour faire des examens, et qui viendrait me faire une radiographie des poumons. Pendant que j'attendais, j'ai entendu un homme qui a crié : " Ca fait mal, s'il vous plait." C'était effrayant.
Après les examens, j'ai attendu que le médecin passe me donner les résultats. Il est venu à vingt-et-une heures trente. Il m'a donné de bonnes nouvelles en m'indiquant que je n'avais aucune maladie. On a discuté un peu et il m'a dit que j'étais stressée et que je faisais des crises d'angoisse. C'était difficile à comprendre. Le médecin m'a conseillé de faire du sport pour m'occuper et d'éviter de trop penser, surtout à des choses négatives. En ce moment, je vais mieux. Je fais du sport, je regarde des films français, j'écoute de la musique et je parle avec mon fils plus qu'avant. Toutefois, j'attends avec impatience le 02 août, pour rentrer au Botswana, d'après moi, on n'est nulle part aussi bien que chez soi.
Mais il y a des inconvénients de vivre loin de la famille. Un jour, je me suis réveillée sans pouvoir respirer, je transpirais et j'avais très mal à la tête. Je croyais que j'étais vraiment malade. J'ai quitté le campus pour aller chez un médecin à Saint Pierre qui travaille vingt quatre heures sur vingt quatre. Il était vingt-trois heures, il m'a donné des comprimés contre la douleur. Je suis rentrée au campus à minuit.
Le lendemain matin, c'était douloureux à la poitrine. J'ai appelé mes amis pour m'amener à l'hôpital à Saint Pierre. Là, l'infirmière a pris ma température, c'était normal. Un autre infirmier est venu avec un brancard, il m'a demandé de m'allonger dessus. A cet instant, j'avais peur. J'ai pensé que j'allais mourir. L'infirmier m'a poussé dans une chambre, il m'a dit d'attendre quelqu'un qui viendrait me faire une prise de sang pour faire des examens, et qui viendrait me faire une radiographie des poumons. Pendant que j'attendais, j'ai entendu un homme qui a crié : " Ca fait mal, s'il vous plait." C'était effrayant.
Après les examens, j'ai attendu que le médecin passe me donner les résultats. Il est venu à vingt-et-une heures trente. Il m'a donné de bonnes nouvelles en m'indiquant que je n'avais aucune maladie. On a discuté un peu et il m'a dit que j'étais stressée et que je faisais des crises d'angoisse. C'était difficile à comprendre. Le médecin m'a conseillé de faire du sport pour m'occuper et d'éviter de trop penser, surtout à des choses négatives. En ce moment, je vais mieux. Je fais du sport, je regarde des films français, j'écoute de la musique et je parle avec mon fils plus qu'avant. Toutefois, j'attends avec impatience le 02 août, pour rentrer au Botswana, d'après moi, on n'est nulle part aussi bien que chez soi.
lundi 5 janvier 2015
MES VACANCES.
Le 19 décembre, j'ai commencé mes vacances de deux semaines. Au début, je n'avais aucune idée de ce que je voulais faire. J'étais un peu triste, je pensais à ma famille au Botswana. Le 23 décembre, un ami que j'ai rencontré ici au Tampon m'a apellé. Il m'a invité à dîner au Cap méchant à Saint Pierre. Je me suis bien habillée et je suis partie avec lui à Saint Pierre. Le soir je suis rentrée avec un ventre bien rempli et je me suis bien amusée.
Le 24 décembre, à la veille de Noël, mon ami m'a encore invité à dîner dans sa famille au Tampon. Il y avait beaucoup de monde. Ils ont dansé sur de la musique créole, moi je suis restée assise parce que je n'ai pas l'habitude de cette genre de musique. A minuit, c'était le temps des cadeaux. Tout le monde a acheté des cadeaux pour quelqu'un, sauf moi, mais je ne me suis pas inquiété, parce que chez nous on n'a pas l'habitude d'acheter des cadeaux pour Noël. Après que tout le monde a ouvert ses cadeaux, on a commencé à manger. Il y avait du riz, du canard, du poulet, du poisson et des boissons. On a bien mangé et on a bien bu. Je me suis rendu compte que les Réunionnais aiment bien fêter Noël. C'était encore une soirée inoubliable.
Le lendemain de Noël, j'étais épuisée. Je n'avais plus d'envie de sortir. Je voulais rester dans ma chambre, sans rien faire. A 16 heures, j'ai accompagné ma copine Poscia à Saint Pierre. Nous avons mangé une glace, nous nous sommes promenées au bord de la mer et nous avons regardé des vagues. Nous sommes rentrées au campus à 20 heures. A vingt et une heures quarante, je suis partie pour regarder un film au REX, Exodus. C'était un très bon film.
Le réveillon du nouvel an, j'étais encore au Tampon. Mes hôtes m'ont encore m'accueilli chez eux. Comme d'habitude, il y avait beaucoup à manger. On a mangé et on a dansé. Ce jour là, j'ai danser quand même, mais c'était de la musique créole. A minuit, les gens ont sifflé et on a souhait , "bonne année," a tout le monde. A deux heures du matin, j'ai remercié mes hôtes, et je suis rentrée au campus.
Le 24 décembre, à la veille de Noël, mon ami m'a encore invité à dîner dans sa famille au Tampon. Il y avait beaucoup de monde. Ils ont dansé sur de la musique créole, moi je suis restée assise parce que je n'ai pas l'habitude de cette genre de musique. A minuit, c'était le temps des cadeaux. Tout le monde a acheté des cadeaux pour quelqu'un, sauf moi, mais je ne me suis pas inquiété, parce que chez nous on n'a pas l'habitude d'acheter des cadeaux pour Noël. Après que tout le monde a ouvert ses cadeaux, on a commencé à manger. Il y avait du riz, du canard, du poulet, du poisson et des boissons. On a bien mangé et on a bien bu. Je me suis rendu compte que les Réunionnais aiment bien fêter Noël. C'était encore une soirée inoubliable.
Le lendemain de Noël, j'étais épuisée. Je n'avais plus d'envie de sortir. Je voulais rester dans ma chambre, sans rien faire. A 16 heures, j'ai accompagné ma copine Poscia à Saint Pierre. Nous avons mangé une glace, nous nous sommes promenées au bord de la mer et nous avons regardé des vagues. Nous sommes rentrées au campus à 20 heures. A vingt et une heures quarante, je suis partie pour regarder un film au REX, Exodus. C'était un très bon film.
Le réveillon du nouvel an, j'étais encore au Tampon. Mes hôtes m'ont encore m'accueilli chez eux. Comme d'habitude, il y avait beaucoup à manger. On a mangé et on a dansé. Ce jour là, j'ai danser quand même, mais c'était de la musique créole. A minuit, les gens ont sifflé et on a souhait , "bonne année," a tout le monde. A deux heures du matin, j'ai remercié mes hôtes, et je suis rentrée au campus.
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